Triste 1er août

Mais comment est-ce possible qu’en plein été, en plein festival, en pleine canicule, la Tchaux se retrouve ville morte, sans festival, sans personne, sans fête, sans petits orchestres, sans activités, sans saucisses au coin d’une rue ? ça avait comme un goût de premier confinement. Le prochain 1er août, je le passerai en Bulgarie. A bon entendeur, salut.

G. Tell

 

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Ah…l’odeur des vieilles pierres, du patrimoine, de la culture, de l’histoire, de ses célébrités de l’aura desquelles notre cité s’enorgueillit ! « Qui sent le sapin
De ma fenêtre, je regarde les canards qui défilent sur le canal. Ils laissent un sillage qui se dilue dans les herbes immergées de