François Nussbaum : la plume et le clavier

Giovanni Sammali

Ses connaissances le reconnaitront sans mal, même de trois quarts arrière. Mais nombreux vont apprendre ici que François Nussbaum, plume journalistique bien connue, ne joue pas du clavier que derrière son ordinateur.

Comme tous les élèves dont il pourrait être le grand-père, il participe aux auditions !

Sur cette image, à la fin de l’année, il jouait le concerto de Mozart No 26. « Je suis un pianiste amateur, pour le plaisir », sourit-il. « Mais si j’avais joué deux heures par jour depuis mes 6 ans… ».
Correspondant parlementaire à Berne pour L’Impartial puis Arcinfo, il a gratifié ce titre après sa retraite de plusieurs papiers pour la chronique l’Air du temps. Il est tombé en disgrâce dans le même temps où il a signé ses premières contributions dans Le Ô.

Dernières en date, celle sur l’Ecole d’arts appliqués de La Chaux-de-Fonds dépossédée de son nom, et celle sur les emprunts FIFA que Le Locle a évité.

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