Pimpin en panne !

Anthony Picard

Vincent Kohler ne signe pas sa chronique… Il n’en sera que plus mordant la semaine prochaine !

Dommage pour les addicts, pour celles et ceux qui se font presque pipi dessus en découvrant la chronique du Pimpin : la prose du phénomène est reportée.

Rassurez-vous, Vincent Kohler ne va pas plus mal que la semaine passée, ne souffre pas d’amnésie et encore moins du syndrome de la page blanche. Il est juste victime d’un agenda de malade entre ses rôles de pion et d’humoriste. À trois semaines de la Première de la Revue neuchâteloise à Colombier, on comprend que la coqueluche des Chaux-de-fonnières soit dans le dur, dans la pierre, dans la palmade.

Le saviez-vous ? Votre chroniqueur – qui aimerait être un peu des deux à la fois – cumule les emplois pour le plaisir des autres.

Le trublion qui avoue avoir cessé de boire, de fumer et de se livrer à une vie de dépravé, allant jusqu’à divorcer, prétend avoir mis toutes les chances de son côté, dans le but de passer de vie à trépas en bonne santé, laissant à Deprima le bénéfice du cotisant.

Prof spécialisé, Vincent passe ses journées à enseigner au collège, un job d’engagé au service d’élèves précarisés avant d’enfourcher son biclou pour jouer en soirée, l’homme au foyer. Pimpin qui n’aime pas les grands raouts même s’il est né un vendredi de braderie, en a gardé sous le pied pour attirer les foules, en particulier pour faire venir du monde à ses spectacles.

L’humoriste, qui n’était plus monté sur les planches depuis son coming-out avec Pierre Aucaigne, reprend du service dans la Revue neuchâteloise en qualité de co-auteur et de comédien. Trois hommes et trois femmes dans la peau d’une chancelière et celle du club des Cinq de l’exécutif neuchâtelois, assez pour mettre dans tous ses états un public friand de sketches sur fond de satire politique. Dépêche-toi l’ami, tu nous manques déjà !

 

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