Bonne nouvelle dans ces périodes post glaciaires riches en exploits de toutes sortes ! Il en reste, c’est rassurant. Après le triomphe sans partage de Pogaçar qui doit freiner dans les virages pour éviter les sorties de routes en grimpant vers les sommets de sa gloire éphémère réussissant à battre à l’eau claire et au bircher les records de Armstrong et Pantani, dont le médecin ne s’appelle plus Ferrari mais Lamborghini, il reste un rêve qui devient enfin accessible à tous : tirer sur un ex-futur président des États-Unis ! Cette activité historiquement réservée aux sévices secrets opère sa mue et se démocratise ! Et ce n’est pas pour déplaire aux détenteurs des 393 millions d’armes de ce pays dont les États sont plus que désunis.
Pour celles et ceux qui aimeraient également s’y essayer, Trump reste une cible de premier choix ! Un peu comme une maman noire dans sa cuisine mais qui n’a comme garde du corps qu’une casserole d’eau chaude pour se défendre de flics véreux en mal de tire-pipes de far-west. Donald est facile à viser mais difficile à atteindre, le vieux grigou ne se laissant pas abattre si facilement.
Tirant également son coup mais qui lui finit par lui coûter bonbon, le jeune tireur d’élite à la barbe naissante et à l’acné juvénile tenace a été stoppé nette par le tir précis et sans bavure de John Sniper Junior à qui on a décerné ze Medal of Honor après avoir courageusement participé à un viol collectif dans la banlieue de Bagdad. Mais ceci est une autre histoire.
Tirer un président comme on tire un cerf, oui mais pas n’importe comment. Même si vous êtes un tireur chevronné, évitez de tirer dans la tête, Donald étant dépourvu de cerveau, ça ne fera qu’un trou de plus dans celui qui en a déjà un énorme. Ne visez pas le cœur non plus, n’en n’ayant pas, vos chances de réussite sont compromises.
Biden s’étant retiré dans son home sweet home de Saint Smith & Wesson, reste la petite nouvelle Kamala Harris, qui espérons-le, mettra knock-out ce rottweiler aux dents trop blanches.
Bonnes vacances !