Pascal Gilomen, le goût du chiffre depuis plus de vingt-cinq ans !

Par Kevin Vaucher

Pascal Gilomen incarne une réussite ! Pas celle, facile, que l’on aime mettre en avant sur la place publique. Mais celle, plus besogneuse, qui se cache derrière des années et des années de travail. Il y a un peu plus de vingt-six ans, l’homme rachète le portefeuille client d’un ami pour lancer son entreprise active dans le domaine de la fiscalité. En un peu plus d’un quart de siècle, ce portefeuille est passé de sept à plus de trois cents clients. Plongez dans son monde fascinant…

Gilomen fiscalité et conseils SA, c’est aujourd’hui trois bureaux et onze collaborateurs répartis entre Saint-Imier, Reconvilier et La Chaux-de-Fonds. À sa tête, on y trouve Pascal Gilomen. Il a 24 ans lorsqu’il empoche le brevet fédéral des comptables et il enchaîne directement avec une expérience au service des contributions. « C’étaient des années extraordinaires. Nous avions le temps de gratter chaque dossier que l’on sortait du circuit habituel des impôts pour le contrôler. Aujourd’hui, ce métier a changé et on demande aux employés d’aller vite pour remplir certains quotas », relate-t-il.

L’argent et… les problèmes des autres !
Mais c’est du passé pour Pascal. Lui, son quotidien est fait de TVA, d’échanges avec les assurances, de gestion des salaires et des budgets et ainsi de suite. « On est des matheux, on aime bouffer du chiffre ! » En gros, vous vous occupez des problèmes des autres et de l’argent des autres ? « C’est un peu vrai, oui », se marre Pascal. « Notre métier se traduit par « la main de la confiance » en allemand. Cela veut tout dire. Nos clients, des entreprises et des indépendants, doivent pouvoir s’appuyer sur nous les yeux fermés. »
C’est à ce moment-là que les plus de vingt-cinq ans d’expérience de Gilomen sont capitalisés. « Nous sommes rodés et nous travaillons vite. Notre tarif horaire (180 francs l’heure) se justifie ainsi pleinement puisque d’autres sont moins chers mais travaillent moins vite. Il se justifie d’autant mieux qu’il couvre aisément les économies que l’on fait réaliser à nos clients grâce à l’optimisation fiscale. » Quand le goût du chiffre rencontre l’amour du travail bien fait, les comptes sont bons et les amis bien gardés !

 

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