Le « bien-être » se décline à tous les étages !

Par Kevin Vaucher

Si vous cherchez un lieu où vous faire du bien, ne creusez plus et arrêtez-vous au Premier sous sol. Cédric Barthoulot (30 ans d’expérience dans le domaine sportif) et sa femme Dominique (25 ans d’expérience dans le massage et le bien-être) offrent un véritable condensé de ce qui vous fait vous sentir mieux : coaching personnel ou de groupe, massages thérapeutiques, hypnose ericksonienne et même… du squash ! Eh oui, c’est aussi au Premier sous sol que vous trouverez les deux dernières salles du haut du canton.

La réputation de Cédric Barthoulot n’est plus à faire. Actif dans le domaine du sport depuis trois décennies, il a notamment géré l’une des plus grandes salles de fitness du canton durant
15 ans – le Physic-Club des éplatures, au côté de Christian Matthey. L’homme a 50 ans et il en fait facilement 10 de moins. « C’est ma meilleure carte de visite », plaisante ce « personnal trainer » en possession du brevet fédéral. Face à la razzia du paddle dans les sports de raquette, il fallait bien cette pointure pour faire vivre les deux dernières salles de squash du Haut. Comment a-t-il pris la balle au bond ?

Le squash a gardé une partie de ses adeptes
« Il faut savoir que je n’ai rien inventé. Ces deux salles existaient déjà mais elles n’étaient simplement plus utilisées depuis un certain temps. Il a simplement fallu les remettre au goût du jour », glisse-t-il. « Simplement », le mot est un peu faible devant l’ampleur des travaux qui attendaient Cédric et sa femme Dominique : « Avec le soutien de la commune du Locle, nous avons eu 3 mois et demi de travaux. Nous y avons mis du cœur et toutes nos économies. Le squash représentent qu’une partie de nos activités car, même si ce sport a encore ses adeptes, il ne serait pas possible de vivre uniquement de l’exploitation de ces deux salles. » Quantitativement, cela représente une quarantaine de séances du mardi au samedi. Des couples, des amis, des collègues…

Location de matériel et initiation
Pour les volontaires qui ne connaîtraient pas les règles, Cédric vous les explique rapidement lors d’une initiation et le matériel (raquettes et balles) peut être loué sur place. Vous avez encore besoin d’être convaincu avant de vous lancer ? « Sachez que le squash fait travailler la coordination, l’agilité, la vitesse et le cardio. C’est bien plus cardio que le paddle », promet-il. Du cœur, Cédric et Dominique en mettent aussi beaucoup dans leurs activités complémentaires. Le couple travaille ensemble depuis 20 ans. Lorsque Monsieur s’est mis à son compte en avril 2021, Madame a naturellement posé sa table de massage thérapeutique et d’hypnose ericksonienne au Premier sous sol.

Avec Dominique, la forme douce du bien-être
Avec Dominique, vous prenez soin de vous sous une forme un peu moins sportive qu’avec Cédric qui offre du coaching et différentes façons de faire travailler le corps comme le Nordic Propulsing. « Avec moi, c’est la forme douce du bien-être », glisse-t-elle avec un sourire apaisant. « Le massage est un bon complément au volet sportif. Et l’hypnose offre une solution appréciée pour agir sur des problèmes plus profonds comme les addictions (sucre, fumée…), les phobies et les angoisses. J’agis aussi sur la confiance en soi et les blocages mentaux », détaille la thérapeute qui constate un mal-être plus présent depuis la fin de la période Covid.

Cédric, le déclic et une évolution qui ne s’est jamais estompée
C’est pendant le Covid justement que le Premier sous sol a ouvert ses portes. « C’était assez complexe pour un début d’activité mais on a serré les dents et tout le reste avec. Le masque était obligatoire même pour le squash. Autant dire qu’ils ne restaient pas secs bien longtemps », se souvient Cédric. Mais l’homme en a vu d’autres et il incarne à lui seul le courage et la persévérance. Son parcours montre que tout est possible à celui qui s’en donne les moyens. « Avant que le sport prenne cette place dans ma vie, je pesais 105 kilos, je mangeais n’importe quoi et n’avais aucune hygiène de vie. Heureusement que mes frangins m’ont emmené un jour au fitness. » Comme il mettait l’ambiance durant le cours de spinning, il lui a été proposé de devenir prof. Ce qu’il a fait avant de se hisser au rang de gérant quelque temps plus tard. Costaud !

→ Premier sous sol, pourquoi ce nom ?
« Il ne faut pas chercher très loin », répond Cédric Barthoulot. « Nous avons fait simple et efficace. Nous sommes à la route du Communal 1 alors nous avons gardé l’idée du « premier ». Puis, vu que le lieu se trouve en-dessous des halles polyvalentes du Locle, on y a ajouté « sous sol ».

→ Une bulle d’alchimie au cœur du Locle
En plus du Premier sous sol, Cédric et Dominique ont aussi créé une bulle d’alchimie au centre-ville de la Mère commune. « Nous avons créé un centre de compétences avec différents thérapeutes depuis le 1er février 2025. Il y a des massages, de la nutrition, du Reiki et de la naturopathie notamment. »

Premier sous sol
Route du Communal 1, au Locle

→ Premier sous sol, pourquoi ce nom ?
« Il ne faut pas chercher très loin », répond Cédric Barthoulot. « Nous avons fait simple et efficace. Nous sommes à la route du Communal 1 alors nous avons gardé l’idée du « premier ». Puis, vu que le lieu se trouve en-dessous des halles polyvalentes du Locle, on y a ajouté « sous sol ».

→ Une bulle d’alchimie au cœur du Locle
En plus du Premier sous sol, Cédric et Dominique ont aussi créé une bulle d’alchimie au centre-ville de la Mère commune. « Nous avons créé un centre de compétences avec différents thérapeutes depuis le 1er février 2025. Il y a des massages, de la nutrition, du Reiki et de la naturopathie notamment. »

Premier sous sol
Route du Communal 1, au Locle

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