La Boîte à Swing fait partie intégrante du paysage culturel et musical de la Mère commune. Bernard Vaucher, responsable de la programmation, nous a accordé un entretien pour le lancement de la nouvelle saison ce 18 octobre.
« Les gens viennent de Suisse allemande, mais aussi du Plateau et du Littoral », s’enthousiasme Bernard, que l’on ne présente plus (voir notre édition du 28 mars). Le projet a vu le jour en 2002, parallèlement à la rénovation de la maison de Paroisse dont Bernard avait la charge : « Le Cellier de Marianne était alors en pleine mutation, renonçant à ses concerts. » En collaboration avec leur équipe, « nous avons repris le flambeau à la maison de paroisse : the show must go on » !
Depuis, l’association a roulé sa bosse… ou plutôt sa pierre, à l’image de cette 23e édition qui fait la part belle au rock… and roll. « C’est souvent la base de tout ce qui s’est fait après. Cette musique et son rythme traversent les générations. » D’ailleurs, la programmation séduit de nombreux trentenaires, tout comme les musiciens sur scène.
Acoustique exceptionnelle, ambiance au top !
Ces soirées de légende verront notamment Cat & The Mint, Francky Gumbo ou encore, le 31 janvier, Tribute of Ray Charles, groupe adoubé par la fille du célèbre pianiste, auteur de Georgia on my mind ou de Hey Jack ! Le 21 février, c’est le King qui sera à l’honneur avec Augie Burr et The Elvis Tribute Band.
« Notre Boîte à Swing séduit et nous devons désormais faire des choix dans les groupes que nous sélectionnons. L’acoustique de la salle, l’accueil des artistes autant que l’ambiance des concerts sont top, je pense que c’est ce qui plaît ici. »
Bernard tient enfin à saluer les nombreux sponsors, dont la Loro et la Ville du Locle, mais aussi l’équipe de bénévoles « hors norme ».
L’ensemble du programme est à découvrir sur le site de la Boîte à Swing. Les réservations peuvent aussi s’y faire. Il est aussi possible de passer sa réservation au bureau promotionnel de la Ville.
Bref, rock and roll never dies… et ça se passe à la Boîte à Swing du « Rockle » (du Locle, pour les moins Rock d’entre vous qui n’auraient pas compris le jeu de mot…)
