Deux nouvelles fresques monumentales grâce à l’exomusée !

Par Cédric Dupraz

La Mère commune se pare de nouvelles fresques monumentales. En juillet, l’artiste canadien Ben Johnston a réalisé une œuvre intitulée Il était une fois au Locle. Un hommage au bâtiment Bournot 6 qui accueillit autrefois l’école primaire du Locle et l’écrivaine T. Combe. Désormais, Rouge Hartley, artiste cosmopolite (française et vietnamo-allemande de naissance), parachève une fresque en tout point mémorable à la ruelle de l’Oratoire. Réalisée au pinceau, cette œuvre inspirante, florale et colorée, est un clin d’œil aux inondations qui touchèrent Le Locle jusqu’au début du XXe siècle. Rappelons que l’exomusée contribue plus que jamais à positionner la Mère commune comme un haut lieu des arts urbains et, par là même, à faire la fierté de ses habitants. Réjouissons-nous : d’ici quelques semaines, deux nouvelles réalisations viendront encore embellir la cité !

Plus d’informations : www.exomusee.ch

Un concept devenu marque de fabrique

Vous avez dit « exomusée » ? En 2012, Sylvie et François Balmer ouvrent une résidence-atelier pour artistes. Soutenue par la ville du Locle, la Luxor Factory accueille de grands noms de la scène artistique et musicale. En 2017, le couple se lance alors dans un concept d’art urbain pictural. M. Chat (Thoma Vuille) réalise une première œuvre sur le collège des Jeanneret. Quelques années plus tard, l’exomusée – contraction du grec « exo », qui signifie « à l’extérieur », et de « museîon », « lieu consacré aux Muses, déesses des arts » –, voit le jour. Plus qu’un concept, l’exomusée est devenu une marque dans une ville industrielle à grandeur humaine. Aujourd’hui, ce sont plus d’une quarantaine d’œuvres d’artistes au rayonnement international qui ornent les rues de la Mère commune des Montagnes.

Sylvie et François Balmer, Rouge Hartley et Roméo Paris. (Photo cd)
Sylvie et François Balmer, Rouge Hartley et Roméo Paris. (Photo cd)

Un concept devenu marque de fabrique

Vous avez dit « exomusée » ? En 2012, Sylvie et François Balmer ouvrent une résidence-atelier pour artistes. Soutenue par la ville du Locle, la Luxor Factory accueille de grands noms de la scène artistique et musicale. En 2017, le couple se lance alors dans un concept d’art urbain pictural. M. Chat (Thoma Vuille) réalise une première œuvre sur le collège des Jeanneret. Quelques années plus tard, l’exomusée – contraction du grec « exo », qui signifie « à l’extérieur », et de « museîon », « lieu consacré aux Muses, déesses des arts » –, voit le jour. Plus qu’un concept, l’exomusée est devenu une marque dans une ville industrielle à grandeur humaine. Aujourd’hui, ce sont plus d’une quarantaine d’œuvres d’artistes au rayonnement international qui ornent les rues de la Mère commune des Montagnes.

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