Triste 1er août

Mais comment est-ce possible qu’en plein été, en plein festival, en pleine canicule, la Tchaux se retrouve ville morte, sans festival, sans personne, sans fête, sans petits orchestres, sans activités, sans saucisses au coin d’une rue ? ça avait comme un goût de premier confinement. Le prochain 1er août, je le passerai en Bulgarie. A bon entendeur, salut.

G. Tell

 

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