Cet amoureux des mots – et de Brassens – est de passage en Suisse.
Des concerts dans l’entier de l’Hexagone dont les premières parties des Têtes Raide, de Loïc Lantoine ou encore de Pomme ! Anibal Galant débarque pour une première série de concerts en Suisse. Il était déjà venu plus tôt cette année à Saignelégier pour remporter le bronze de la Médaille d’or, un tremplin de la chanson francophone.
Avec sa plume malicieuse, pince-sans-rire et parfois sensuelle, il présente ce soir au Moultipass son premier album, Quand il ne restera plus rien de moi. Un seul en scène chanté et parlé pour lequel Le Ô fait gagner 3×2 places aux premiers arrivés qui envoient un mail à info@le-o.ch !
L’artiste nous a répondu depuis sa France méridionale, avant son concert de ce soir au Moultipass, puis samedi et dimanche à Genève.
– Racontez-nous votre album ?
– Des chansons légères au ton humoristique mais aussi des morceaux plus engagés. Le tout se veut plutôt joyeux. Même la chanson éponyme, Quand il ne restera plus rien de moi, invite à bouger. J’aime prendre les choses à contrepied.
– L’inspiration pour vos paroles ?
– Un mélange de sujets actuels et intemporels, je traite du temps qui passe, de nostalgie et de climat en faisant un crochet par l’amour et la mort. J’ai beaucoup été inspiré par Georges Brassens.
– Votre concert de ce soir ?
– Ce sera un seul en scène où je chante en m’accompagnant à la guitare et à l’accordéon. Je raconte beaucoup d’histoires entre deux morceaux et quelques blagues aussi.
– Et ensuite ?
– Je suis en train de repenser le concert mais avec un contrebassiste, à ce que ça peut apporter à la musique mais aussi à l’aspect théâtral. J’ai aussi un spectacle autour de Georges Brassens que je joue beaucoup, Nom d’une moustache.
– Un mot pour finir ?
– Venez passer un bon moment en chansons et rire de ce monde de fous.
Places à gagner
Envoyez-nous « Anibal » à info@le-o.ch et vous pourrez directement retirer vos billets au Moultipass.